Comme on pouvait s’y attendre, l’épidémie du coronavirus a de graves répercussions sur de nombreux secteurs d’activités, notamment celui du transport. En effet, ces derniers jours nous avons pu assister impuissants à la fermeture de plusieurs aéroports en France et dans plusieurs pays d’Europe.
C’est une situation qui ne présage rien de bon pour ce secteur, car plusieurs vols ont déjà été annulés. Nous vous proposons donc de découvrir dans la suite tout ce qu’il faut savoir sur la situation dans les aéroports pendant le coronavirus.
Les aéroports tournent au ralenti avec le coronavirus
Si de nombreuses personnes s’inquiètent avant tout pour l’impact du coronavirus sur la santé des hommes, il faut savoir qu’en réalité cette épidémie semble avoir d’autres conséquences toutes aussi graves. En effet, avec ce virus qui tue par centaine des personnes dans le monde entier, c’est l’économie toute entière qui est menacée.
De nombreuses activités sont compromises, et principalement dans le secteur du transport. Les gares, les arrêts de bus et surtout les aéroports, tous ces lieux fonctionnent désormais au ralenti. Même la situation est loin d’être idéale, il faut avouer que c’est un mal nécessaire pour freiner de façon considérable la propagation de la maladie.
En France par exemple, la situation dans les aéroports pendant le coronavirus est à la limite, chaotique. Le trafic aérien est presque inexistant, surtout depuis que le gouvernement a annoncé que le pays en état d’alerte maximum. De nombreux voyageurs annulent leurs réservations, et demandent en plus à se faire rembourser.
Face à cela, le moins qu’on puisse dire c’est que les promoteurs ainsi que les employés de ces compagnies ont du souci à se faire. Le pire, c’est que cet impact du coronavirus sur les compagnies aériennes ne fera que s’aggraver, tant que l’épidémie ne sera pas maitrisée. D’après les estimations, ils se pourraient que d’ici quelques semaines, tous les aéroports soient fermés, aussi bien dans les pays touchés par la maladie que dans ceux où aucun cas n’a encore été détecté.
Ces mesures prises dans les aéroports pendant le coronavirus visent à protéger les populations et à mettre un terme à la propagation du virus. Malheureusement, ce sont les compagnies qui en pâtissent. Il faut espérer que les gouvernements ainsi que les organismes internationaux comme la banque mondiale ou le FMI feront un geste à leur endroit.
Pour l’heure, de nombreux salariés de ce secteur risquent de se retrouver en chômage temporaire. Les conséquences de cette épidémie seraient visiblement plus graves que celles de l’attentat du 11 septembre. A quand la fin ? C’est la question que tout le monde se pose, car il est certain que personne ne tire profit de la situation actuelle.
De plus en plus de vols supprimés dans les aéroports
Si les aéroports pendant le coronavirus fonctionnent au ralenti, c’est bien entendu parce que de nombreux vols sont annulés. Il y a d’un côté les vols annulés en raison du niveau d’alerte dans les pays de destination, et d’un autre côté, les vols annulés pour cause de fermeture de frontière.
A ce propos, il faut noter que plusieurs pays comme les USA et bien d’autres encore ont décidé de fermer leurs frontières. Ils n’acceptent donc plus les vols en provenance des pays de l’Europe comme la France ou l’Italie. Par conséquent, même avec toute leur bonne volonté, les compagnies se voient dans l’obligation d’annuler les vols.
Pour ce qui concerne les voyageurs, chacun d’entre eux demande à se faire rembourser son billet d’avion. Peut-on leur en vouloir ? En réalité non, parce que personne ne peut accepter payer pour un service et ne pas en profiter. Cela représente donc un gros manque à gagner pour ces compagnies aériennes qui auront beaucoup de mal à sortir indemne de cette situation de crise.
Comme vous pouvez le voir, avec la situation dans les aéroports pendant le coronavirus, les compagnies aériennes ont de gros soucis à se faire. Si les choses continuent à ce rythme, la France et plusieurs autres pays européens pourraient fermer tous leurs aéroports d’ici peu. Espérons qu’on n’en arrive pas à de telles extrêmes.